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019. La souffrance, un sens de l'existence.


Dans une vidéo contemplative intitulée "Le Coronavirus" sur la chaîne YouTube "𝐁𝐨𝐮𝐝𝐝𝐡𝐚 𝐌𝐚𝐢𝐭𝐫𝐞𝐲𝐚", l'auteur partage une perspective très personnelle sur la pandémie de coronavirus, en se positionnant avant tout comme un individu faisant l'expérience du monde à travers ses cinq sens.


Avant d'aborder spécifiquement le coronavirus, il tient à rappeler que nous sommes des individus dotés de cinq sens – la vue, l'odorat, l'ouïe, le goût, le toucher et le mental – à travers lesquels nous expérimentons le monde, observons les phénomènes et en tirons des conclusions et des compréhensions. C'est sur cette base d'observation sensorielle qu'il propose sa réflexion sur ce que l'on appelle le coronavirus.


Pour lui, le coronavirus est désigné comme une pandémie en raison de sa diffusion et de son étendue considérables. Il souligne que ce virus touche une large partie de la population, entraînant des difficultés de santé et pouvant parfois causer la mort, en particulier chez ceux qui ne sont pas suffisamment résistants physiquement.


D'après ses observations et ce qu'il a entendu autour de lui, de nombreuses personnes ont été affectées, certaines ayant dû se soigner avec des médicaments, d'autres ayant été mises en quarantaine ou vaccinées. Il note également que certaines personnes ont été infectées une ou deux fois.

Quant à l'origine de ce coronavirus, l'auteur avoue ne pas avoir établi de certitude. Il mentionne l'hypothèse d'une provenance chinoise, d'un laboratoire, mais souligne qu'il s'agit peut-être d'un simple point caractérisant le virus et qu'il pourrait y avoir d'autres informations inconnues.


Face à cette ignorance quant à l'origine de la menace, il insiste sur l'importance, en tant qu'individu, d'agir et d'éviter de rester dans l'ignorance.


En se posant la question du "pourquoi" de l'existence du coronavirus, il établit un parallèle avec des questions existentielles plus larges, comme "pourquoi l'homme est homme ?". Il suggère que si l'on n'investit pas intérieurement, on peut chercher longtemps des réponses à l'extérieur sans jamais trouver la source véritable. Ainsi, il préfère garder le silence sur la cause profonde du coronavirus, par honnêteté.


Cependant, il propose une approche pour y remédier : face à toute difficulté, qu'il s'agisse du coronavirus ou d'une autre souffrance, la réponse réside dans le fait d'éviter de développer la souffrance qui y est liée. Pour cela, il préconise d'être attentif à nos actions, car la maladie apparaîtrait du fait de notre existence dans ce monde. Selon lui, notre existence est mise à l'épreuve par la souffrance, et notre devoir est de tendre vers une existence plus pure et joyeuse.


L'accent mis sur le coronavirus comme pandémie qui touche énormément de gens est dû au fait que les individus cherchent à ne pas souffrir de cette maladie. En renonçant à la souffrance, on se libère et on sort du cycle d'une existence potentiellement difficile. Il est donc urgent de prendre conscience que tant qu'on s'ignore en tant qu'individu face à l'existence, on risque de subir ces menaces.


L'auteur rappelle que nos actions dans le monde peuvent causer du tort ou du bien. Il est de notre devoir d'agir en évitant les mauvaises actions et en cultivant les bonnes, afin d'éviter de causer de la souffrance et de rejoindre un mouvement d'aide mutuelle. Face à la souffrance, il encourage à éviter les mauvaises actions présentes et futures, montrant ainsi l'exemple d'une personne disciplinée.


En conclusion, il invite à la compassion envers ceux qui souffrent de cette menace qu'est le coronavirus. Il encourage à prendre soin de soi et de ses proches, à être prudent dans ses actions, généreux, discipliné, patient et à faire les efforts justes. Il exhorte à se concentrer sur le bien autour de soi et en soi, afin d'être un digne représentant de la vie, propageant des valeurs fondamentales comme la générosité, la moralité, l'ascèse, l'effort, la concentration et la sagesse.


Enfin, il invite à observer le monde, à voir si l'on est affecté, à réfléchir à nos réactions face à la souffrance, et à considérer que nous recevons constamment des informations de ce monde auxquelles il est important de réagir avec discernement. Cette observation de nos expériences nous apprend où nous en sommes sur notre chemin spirituel, et si le fruit de nos actions est amer, il est nécessaire d'abandonner nos souffrances pour trouver un fruit agréable, synonyme de contentement et de joie.


Pour plus d'informations sur la question de la place de la souffrance dans la vie, n'hésitez pas à visionner la vidéo ci-dessous.


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